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Libro

Jean Loredan

La Fontenelle, Seigneur de la Ligue (1572 - 1602) - Brigands d'autefois - Documents inédits.

27,00 € 30,00 €

Porcherot - SP.Rance Librairie (BREST, Francia)

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Detalles

Autor
Jean Loredan
Materia
histoire ancien régime, Bretagne, Biographie
Idiomas
Francés

Descripción

PARIS, Lib. Perrin- 1926 - In-8 - Broché - Gravures hors texte.-VIII-284 pages - Exemplaire non coupé, comme neuf Guy Eder de Beaumanoir de la Haye, dit la Fontenelle, né en 1572 ou 1573, mort supplicié en 1602 en Place de Grève à Paris, fut un chef de guerre combattant du côté des Ligueurs pendant les guerres de la Ligue et un brigand célèbre dans la Bretagne de la fin du XVIe siècle, surnommé "Le Loup" — "Un sujet pittoresque et mélodramatique – un gentilhomme de grand chemin, brave, lettré, chevaleresque et féroce, finissant à l'âge de 30 ans à peine, par la main du bourreau – qui a tenté de très bonne heure les historiens ou même simplement les écrivains en quête d'aventures corsées propres à émouvoir le grand public. Au reste, le livre de M. J. Lorédan – qui est un écrivain ayant fait ses preuves – se lit avec intérêt." (René Durand, Annales de Bretagne, 1928) — "Brigand ? Mérita-t-il ce qualificatif que certains lui donnèrent ? Brigand ; non, pas plus qu'un autre. Il fut attaqué violemment par les historiens et chroniqueurs de la Ligue, par Rosnyvinen de Piré, Montmartin, Dom Morice et Dom Taillandier, par son mortel ennemi René de Rieux Sourdéac, par le naïf et bouillant chanoine Moreau, qui ne l'aimait guère, lui non plus. Sans doute se montra-t-on parfois injuste à son égard et lui reprocha-t-on bon nombre d'exploits dont il n'était pas l'auteur. Sans doute ne pilla-t-il, ne brûla-t-il, ne massacra-t-il pas plus que les Camors, la Magnane, du Liscoët, Saint-Offange et tant d'autres. On intriguait, on volait, on rançonnait des otages ; c'étaient les moeurs de l'époque. On dévalisait les châteaux des nobles et les chaumières des paysans. On se battait pour Dieu, pour le Roi – pour le roi de France, aussi pour le roi d'Espagne et pour la reine d'Angleterre – mais on n'oubliait pas, d'ordinaire, ses intérêts personnels.".